L'homéopathie en mouvement

Le génie de Samuel HAHNEMANN

Préambule.

 

Vous connaissez certainement ce Grand Homme.
Un génie à la hauteur de tant d'autres...
Doué pour les langues, la chimie, le botanisme, et bientôt la médecine du vivant, l'homéopathie.

 

Dès son plus jeune âge, il présente un don pour les langues étrangères.

Pour le latin et le grec d'abord, puis pour le français, l'anglais et l'italien.

En 1775, il commence des études de médecine.

Gagnant sa vie grâce à des cours de langues et des traductions en allemand d'ouvrages de physiologie et de médecine.

En octobre 1777, le baron Samuel von Brukenthal, que l'impératrice Marie-Thérèse vient de nommer gouverneur de Transylvanie, lui offre le poste de bibliothécaire et médecin personnel !

Il termine ses études de médecine à Erlangen et, en août 1779, il passe son doctorat.

Par moments, il délaissait complètement la pratique médicale, parce qu'il ne croyait pas à l'efficacité de la médecine telle que pratiquée à l'époque.

En 1788, il publie Sur les moyens de reconnaître le fer et le plomb dans le vin, où il expose une méthode pour mettre en évidence la dénaturation du vin par l'apport de sucre de plomb toxique. Ce « test de vin Hahnemann » — qui sera obligatoire pour les négociants en vin de la ville de Berlin — lui vaut une certaine notoriété.

Il commence à mettre en pratique ses principes d’homéopathie à partir de 1796, c'est à compter de 1800 qu'Hahnemann commence véritablement à pratiquer l’homéopathie. À partir de cette date, il garde toutes ses observations dans ses livres de cas, les journaux de malades. À partir de 1800, Hahnemann commence à prescrire des préparations infinitésimales, n'hésitant pas à qualifier les homéopathes usant de doses pondérales de demi homéopathes.

En 1821, le duc Henri d'Anhalt-Köthen lui offre le titre de médecin privé de la cour ducale, de conseiller aulique, assorti du droit de fabriquer lui-même ses médicaments ; il y restera quatorze années.

En 1837, un de ses malades célèbres est le violoniste Niccolò Paganini, qui souffrait de toux, rétention d'urine et priapisme.
Le traitement se termine à la suite du rejet de ses offres à Mme Hahnemann.

Fin 1838, il guérit la fille du célèbre écrivain et académicien Ernest Legouvé, qui était déclarée irrémédiablement perdue par ses médecins.
On fait venir le peintre Amaury-Duval pour conserver au moins un souvenir d'elle.
Son travail terminé, il leur dit : « Mais enfin, puisque votre médecin déclare votre enfant perdue, pourquoi ne vous adressez-vous pas à cette médecine nouvelle qui commence à faire tant de bruit dans Paris ; pourquoi n’irez-vous pas trouver Hahnemann ? » - « Cette guérison fut un événement dans Paris, presque une sorte de scandale », ainsi « sa réputation devenait de la gloire » dans la société parisienne et lui amenait d'autres malades bien connus, comme l'écrivain Eugène Sue ou la mère de Victor Schœlcher.
Les dossiers médicaux encore existants de la période de Paris n'ont été que partiellement évalués et pourraient offrir d'autres surprises.

Samuel Hahnemann est mort à l'âge de 89 ans, le 2 juillet 1843 alors qu'au milieu du XVIIIe siècle, l'espérance de vie ne dépassait pas 25 ans, atteignant les 30 ans à la fin du siècle, puis faisant un bond à 37 ans en 1810.

Comment a t'il réussi !!!
Qu'elle est son savoir aujourd'hui discrédité, ridiculisé et même détourné à cette nouvelle mode du simplisme que l'on nous fait croire de meilleur.

 

Voyons ensemble les deux premiers Aphorisme de l'organon de Samuel HAHNEMANN :

 

 

VOCATION MÉDICALE

1. — La plus haute et même l'unique vocation du praticien est de rétablir la santé des personnes malades, c'est ce qu'on appelle guérir.

 

 

IDÉAL THÉRAPEUTIQUE

2. — L'idéal thérapeutique consiste à rétablir la santé d'une manière rapide, douce et permanente, à enlever et à détruire la maladie dans son intégralité, par la voie la plus courte, la plus sûre et la moins nuisible, cela d'après des principes clairs et intelligibles.

3. — Si le praticien perçoit clairement ce qu'il faut guérir dans les maladies, c'est-à-dire dans chaque cas morbide individuel,

- lorsqu'il connaît d'une façon évidente les propriétés curatives des médicaments, ce que chaque médicament est capable de guérir,

- si d'après des principes clairement définis il sait appliquer ce qu'il y a de curatif dans les médicaments à ce qu'il a reconnu d'indubitablement morbide chez le malade de telle façon que la guérison doive s'ensuivre, c'est-à-dire :

a) s'il sait appliquer convenablement à chaque cas particulier le remède le mieux approprié selon son mode d'action,
b) préparer celui-ci exactement selon la façon requise,
c) estimer la quantité (dose) et la qualité (dynamisation),
d) juger du moment opportun où cette dose demande à être répétée,

- s'il connaît enfin, dans chaque cas, les obstacles à la guérison : (manque d'hygiène, indispositions, corps étrangers, calculs, malformations, traumatismes, etc., et sait les écarter pour que le rétablissement soit permanent.

alors il sait agir d'une manière judicieuse, conforme au but qu'il se propose d'atteindre, alors seulement il est un médecin digne de ce nom, un maître de l'Art de guérir.

 

 

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